Les frappes américaines

Lorsque la guerre américaine contre le terrorisme s’est transformée en véritables frappes aériennes contre le Tal- gouvernement iban en Afghanistan, le 7 octobre 2001, l’un des escadrons de la marine se- VF-41, un escadron de chasseurs pilotant des F-14A, a été choisi pour diriger les premiers raids de bombardement. Tomcats et surnommé les Black As. Les équipages du VF-41 ont été affectés à certains des les talibans les plus défendus et ont largué plus de deux cents bombes dans trois semaines d’opérations nocturnes, une somme prodigieuse, marquant un record sans précédent taux de réussite de près de 90 pour cent. L’escadron, qui fait partie d’Airwing 8, est l’appareil multi-avions du transporteur. bras aérien de l’escadron, aurait dû être chez NASA (base aérienne navale) Oceana, Virginie Ginia Beach, Virginie, lorsque l’attentat à la bombe contre les talibans a commencé. L’entreprise avait fini une croisière de près de six mois dans le golfe Persique, avait été relevée par un autre transporteur, et était sur une route de retour aux États-Unis via des ports d’escale exotiques où ses cinq mille officiers et son personnel enrôlé prévoyaient de se détendre et passer un bon moment. Mais quand des fanatiques islamiques ont détourné quatre avions de ligne américains 11 septembre et a volé deux d’entre eux dans le Centre du commerce international à New York et un autre au Pentagone à Washington, DC, tuant des milliers d’Américains civils, ces plans ont changé brusquement. On a ordonné à l’entreprise de faire demi-tour et retourner rapidement dans le golfe. Airwing 8 et en particulier les Black Aces étaient parfaitement adaptés à ce qui était subitement attendu avec anticipation après le 11 septembre – un fait fort dans l’esprit des chefs militaires qui a ordonné le retour. Bien que quelque peu modifié par l’attrition normale et le remplacement Un fort noyau de l’escadron s’était battu au début de 1999 dans les dernières opérations aériennes américaines. la guerre, la guerre du Kosovo, et possédait une expertise qui était soudainement nécessaire. En 1999, Airwing 8 était sur l’USS Theodore Roosevelt. Parce que le Roosevelt et le l’aile aérienne commençaient une croisière et se dirigeaient vers la Méditerranée voisine, n’était pas vraiment une diversion pour étendre la destination du transporteur à une position Kosovo et exercices d’entraînement de substitution pour la vraie chose. Retrouvez toutes les infos sur ce vol en avion de chasse en suivant le lien.

La mise à disposition dans un point de retrait

Solution alternative à la livraison à domicile ou sur le lieu de travail, la mise à disposition en point de retrait présente un avantage très intéressant pour les enseignes : grâce à une massification des flux de dernier kilomètre, son coût est plus maitrisé. Elle se révèle également intéressante pour les clients à la recherche d’une solution peu onéreuse de livraison et qui offre la possibilité de récupérer sa commande à des horaires plus adaptés à son mode de vie. Pensée comme une réponse aux risques de grèves de La Poste, la livraison en point relais a été mise en place pour la première fois en France par les grands vépécistes historiques du Nord : La Redoute (Relais Colis) et 3 Suisses (Mondial Relay). Devenus les deux principaux acteurs sur ce segment, ils offrent aujourd’hui des solutions appréciées par les consommateurs en raison de leur faible coût, de leur praticité et du fort maillage territorial. Forme particulière du concept de point relais, le drive a également connu en France un succès unique en Europe. Atout concurrentiel majeur des click & mortar, le réseau de magasins a été mis à contribution dans la recherche de solutions logistiques alternatives. La plupart des retailers ont mis en place des solutions de click & collect, qui consistent à proposer au cyberacheteur la possibilité de retirer gratuitement son achat dans le magasin de son choix. Les Français ont clairement adopté ce nouveau mode de livraison : ils sont 88 % à se déclarer intéressés par ce service47 et plébiscitent sa gratuité (49 %), le gain de temps (47 %) sa facilité d’accès (46 %) et la possibilité de pouvoir vérifier la disponibilité du produit en magasin (42 %). Néanmoins, malgré ses atouts indéniables, son adoption par les enseignes ne s’est pas révélée aussi simple pour plusieurs raisons : Longtemps perçu comme une menace pour eux, les employés des magasins ont eu la plus grande réticence à promouvoir ce service de commerce en ligne. Le temps a néanmoins fait son œuvre, la pédagogie et la conduite du changement ont permis de faire prendre conscience aux équipes de la complémentarité des canaux web et magasin. Un flou persistait sur l’imputation du chiffre d’affaires généré par la vente en click and collect, longtemps affecté au site marchand. Nombre de magasins percevaient difficilement leur intérêt de proposer ce service et ne le traitaient donc qu’en bas de la liste de leurs priorités. Le choix de certaines enseignes de réattribuer ces montants au magasin de retrait a permis de solutionner ce malaise. Une gestion en silo des stocks a longtemps pénalisé ce mode de fonctionnement, créant des ruptures de stocks non anticipées et donc des insatisfactions. Problème de files d’attentes en cas de sousdimensionnement du service de retrait. Pour résumer, un service de click & collect (et plus largement une stratégie web to store) doit s’inscrire dans une stratégie omnicanale et un processus d’uniformisation des organisations des retailers.